Jamais deux sans trois. On est samedi et on se prépare à accueillir les participants de la 3ème vague.
Des vétérans font partie des premiers sur le ponton pour venir récupérer leur package de Dividers. Alors soit ils sont trop excités de se relancer dans la FD soit ils savent que s’ils sont en retard ils auront à faire à moi 😉
—
Parmi eux il y a Steve qui a fait faire un 2e patch perso sur sa sacoche et qui fait collection des stickers FD. Philippe sait qu’il faut prendre des forces et Duncan distribue des cookies en réfléchissant à des solutions anti-chien.
—
Le patch custom de Steve pour l’édition 2017 sur sa sacoche avant. En dessous c’est la version 2016 qu’il a déplacé sur son framebag et ses deux stickers. Y’en a un qui a déjà bien vécu !
—
—
Philip un anglais qui habite à Gand m’a fait la surprise de m’apporter un… samoussa. Ça m’apprendra à raconter des bêtises dans les échanges de mails avec les participants. L’histoire c’est qu’il a été ravi d’apprendre que Specialized offrait un framebag à chaque participant et qu’il pouvait alors se faire un méga-stock de samoussas Du coup j’ai eu une super entrée au repas du soir qui m’a bien calée. C’était la journée des cadeaux. Deux riders de République Tchèque nous ont apporté des goodies aux couleurs de l’événement qu’ils organisent par chez eux. Je vous en dirai plus quand ils m’auront envoyé les infos en anglais. En parlant d’événement on a aussi Daniele l’italien qui a participé à l’Italy Divide et qui a gagné le « golden ticket » pour la FD2017 qui va se lancer sur la trace FD.
—
—
Briefing, questions/réponses, rangement et direction, pour la dernière fois, au Val d’Or pour le repas commun. Je vous la fait court mais certains carburent au Irish coffee bien plus irish que coffee mais je ne balancerai pas les noms !
—
—
—
La nuit est étoilée après deux jours de coton gris. Les derniers ont de la chance ils verront le soleil se lever. Mais qui dit absence de nuages dit 5 degrés de moins… Pas le temps d’avoir froid. Direction la digue pour faire honneur au lever du soleil.
On sent une certaine tension dans ce groupe. Certains ne sont pas là pour rigoler. Ça jazze beaucoup moins que les autres matins.
—
—
—
Et oui, au vu des points verts de cette 3ème vague, ca pousse fort !
—
—
—
—
On remballe, direction Epernay pour le CP1.